L´Arbre de vie
Exposé
Ce tableau acrylique montre un jardin vert estival avec au centre un arbre.
Il a quelque chose d’une scène chargée.
En haut et en bas du jardin se joignent d’autres dimensions.
L´artiste veut exprimer l’attente captivante qu’il sent profondément comme croyant en Dieu, par rapport à “l’évidence” particulière de la nature et de l’homme. Un paradoxe affectif pourtant, considéré par rapport à toute tragique vitale réelle et continue. Près de quoi toute plénitude apaisante dans la nature et dans l’homme est justqu’à un certain point trompeur et sans surprise.
Par le tableau scénique central, l’artiste visualise cette ambiguité troublante (la chute dans le sens biblique) de la réalité vitale.
D’une part la vie ne paraît que ce qu’elle est, parfois pas plus que de la poussière et de la terre, apparemment seulement des atomes mécanistes.
D’autre part il y a notre humanité pleine d’esprit, notre conscience et sa vision spirituelle (suprasensible), et parfois notre, et notre, parfois étrange, “observation de l’intérieur” de nous-mêmes et de la vie, comme d’un profane.
A cela l’artiste relie une réflexion de foi personnelle. Le thème de cette peinture focalise au récit d’un paradis terrestre historique et la chute comme si ce drame se transfigure à notre propre époque et personne.
Comme si les faits (supposés) du premier livre biblique Genèse, ne seraient pas passés il y a des siècles, mais bien arrivés hier pour nous personnellement et corporellement.
Ou encore, que tous les traumatisme et le désarroi, l’effondrement de l’harmonie vitale dont parle la Bible, viennent d’arriver. Et que nous-mêmes semblons être paralysés malgré notre prescience, et paraissons être faibles et cédons comme autrefois Adam et Eve avant nous, longtemps avant que l’homme “moderne” ait commis l’holocauste ou pris sous ses yeux le vacuum vital.
Cette peinture présente donc une réflexion de la bifurcation biblique entre la foi et l’incroyance envers une promesse de vie, entre la soif de connaître la bible et l’humanisme “modeste” entre la grîce et la conséquence mortelle inévitable. C’est la “folie” facilement ridiculisée de l’évangile biblique que l’artiste, comme croyant, pour soi-même reconnaît comme un jalon-mire entre tous les paradoxes.
Exposé
Ce tableau acrylique montre un jardin vert estival avec au centre un arbre.
Il a quelque chose d’une scène chargée.
En haut et en bas du jardin se joignent d’autres dimensions.
L´artiste veut exprimer l’attente captivante qu’il sent profondément comme croyant en Dieu, par rapport à “l’évidence” particulière de la nature et de l’homme. Un paradoxe affectif pourtant, considéré par rapport à toute tragique vitale réelle et continue. Près de quoi toute plénitude apaisante dans la nature et dans l’homme est justqu’à un certain point trompeur et sans surprise.
Par le tableau scénique central, l’artiste visualise cette ambiguité troublante (la chute dans le sens biblique) de la réalité vitale.
D’une part la vie ne paraît que ce qu’elle est, parfois pas plus que de la poussière et de la terre, apparemment seulement des atomes mécanistes.
D’autre part il y a notre humanité pleine d’esprit, notre conscience et sa vision spirituelle (suprasensible), et parfois notre, et notre, parfois étrange, “observation de l’intérieur” de nous-mêmes et de la vie, comme d’un profane.
A cela l’artiste relie une réflexion de foi personnelle. Le thème de cette peinture focalise au récit d’un paradis terrestre historique et la chute comme si ce drame se transfigure à notre propre époque et personne.
Comme si les faits (supposés) du premier livre biblique Genèse, ne seraient pas passés il y a des siècles, mais bien arrivés hier pour nous personnellement et corporellement.
Ou encore, que tous les traumatisme et le désarroi, l’effondrement de l’harmonie vitale dont parle la Bible, viennent d’arriver. Et que nous-mêmes semblons être paralysés malgré notre prescience, et paraissons être faibles et cédons comme autrefois Adam et Eve avant nous, longtemps avant que l’homme “moderne” ait commis l’holocauste ou pris sous ses yeux le vacuum vital.
Cette peinture présente donc une réflexion de la bifurcation biblique entre la foi et l’incroyance envers une promesse de vie, entre la soif de connaître la bible et l’humanisme “modeste” entre la grîce et la conséquence mortelle inévitable. C’est la “folie” facilement ridiculisée de l’évangile biblique que l’artiste, comme croyant, pour soi-même reconnaît comme un jalon-mire entre tous les paradoxes.
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